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à propos

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Qui suis-je ?

Je m'appelle Clémentine, je suis une jeune cavalière de bientôt 16 ans, qui se destine aux métiers du cheval. 

Je suis montée à cheval pour le première fois en 2006, alors à peine âgée de 3 ans. Immédiatement ce fut le coup de cœur pour les poneys, et plus tard pour les chevaux. S'en sont alors suivies 10 longues années de centre-équestre, au cours des quelles j'ai passé mes 3 premiers galops. Ce furent de très belles années, j'ai beaucoup appris et je suis reconnaissante de ces moments, mais il a fallut tourner cette page, car au fur et à mesure que ma mentalité évoluait, elle entrait en contradiction avec les principes du club. A ma sortie du club j'ai donc passé plusieurs mois en refuge équin, en temps bénévole. Ces mois ont été très riches également. Et puis en juin 2019, j'ai croisé la route de Trèfle, un petit hongre dont je suis depuis la demi - 

pensionnaire. Au quotidien, nous alternons majoritairement entre travail à pied et balades.

Outre ma conviction que l'équitation peut être - et sera - respectueuse du cheval, je suis plus largement engagée pour le bien-être animal, ainsi, vous trouverez probablement ici des partages à ce sujet. Je me positionne également en faveur d'une consommation et d'un mode de vie responsable, respectueux des travailleurs et de l'environnement.

Pourquoi "Au Rythme des Sabots" ?

J'aurai facilement pu nommer ce blog "Trèfle et Clémentine", mais je lui ai préféré le nom que vous lui connaissez. D'abord pour une raison évidente, c'est ma demi-pension ; il ne partagera pas ma route éternellement. Je vais être amenée à côtoyer sous peu d'autres chevaux, et j'estime qu'il sera tout aussi intéressant de vous partager ça.

Et puis surtout, je ne souhaitais pas un nom qui se réfère à notre identité, car s'il parle de nous, ce blog s'adresse à tous les cavaliers. Je ne vous invite pas dans l'histoire de Trèfle et Clémentine, je vous invite à partager mes réflexions, au rythme des sabots.

Au rythme des sabots justement. En ces heures où tout s'accélère, la croissance, l'économie, les relations sociales, l'apprentissage, je pense qu'il est primordial de revenir à un rythme plus simple, qui nous laisse le temps d'être nous. Je crois que l'erreur des cavaliers aujourd'hui c'est de penser que l'équitation doit consister à accélérer le rythme du cheval, toujours plus vite, toujours plus haut, quand il s'agit plutôt pour nous de s'adapter au sien.

© 2020 Au Rythme des Sabots, conçu avec Wix.com

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